vendredi 13: la nouvelle en exclusivité pour endor

et voici mon ptit délire! aujourd'hui le jeudi 1 juin à 16h15 pour être précise...moi et ma classe avons eu notre moment de gloire!!! et oui! ici et en avant première sur endor votre petite Sakura vous anonce qu'elle est allée à une remise des prix d'un concour d'écriture et qu'elle a remporté le 1er prix!!!! et ouais on a gagné!!!notre nouvelle sera ilustré et édité!!! c'est ti pas la classe sa?! Cool

Si la classe totale Alex

j espere qu on pourra en avoir des extraits

t'en fais chef des que j'aurai un exemplaire de la nouvelle je la poste...pour que vous puissiez en profité^^ vous verrez elle est vraiment bien! j'en posterai un extrait tout les jours

merci bien alex Smile

de rien cheffeuh^^ c'est bien normal!
et si vous voulez je vous ferai des chtites dédicaces Cool

Ouaip, j'attend avec impatience.

En plus, j'ai rien à lire en ce moment alors il me tarde!

d'acc^^ t'en fais pas je pense que je l'aurai très bientot

je sais sa fesait longtemps...mais sa y est! en avant première et rien que pour vous...je suis fier de vous présentez le début de la nouvelle "vendredi 13" de la 3C du collége sagebien à amiens!

Il fait chaud, il fait beau à Amiens. Aujourd’hui, le vendredi 13 septembre2006 est un jour super, j’en viens même à me demander pourquoi tant de gens redoutent tellement ce jour, mais peu importe, pas le temps de se poser des questions. Je descends les escaliers en sautant trois à trois les marches, mon sac sur le dos, pour aller prendre mon p’tit dèj.
En arrivant dans la cuisine, je tape sur toutes les casseroles suspendues, comme je le fais tous les matins, j’ai toutefois l’impression qu’elles font plus de bruit que d’habitude, mais où est le problème, je mets un peu d’ambiance dans cette maison. Hélas ! mon sens de l’humour a ses limites car ma mère arrive au pas de course, les chaussons à moitié enfilés, me demandant d’arrêter ce vacarme, de peur de réveiller toute la maison. Je m’assois et contemple avec hébétude ma mère préparant le p’tit dèj. Bientôt, l’odeur de pain grillé envahit toute la cuisine et incite les derniers feignants à se lever.

Une heure plus tard, lavé et habillé, je sors de la maison sans attendre. J’aspire une grande bouffée d’air frais, chargé de l’odeur de l’herbe fraîchement tondue, je prends mon vélo Rockrider, tout neuf et avance jusqu’au coin de la rue pour me mettre à l’aise car mon sac est assez lourd. J’enfile mes gants et m’apprête à donner le premier coup de pédale pour voir si mon vélo n’a pas de problèmes. J’entends encore ma mère, derrière moi, me recommander de reprendre un ou deux pulls et une bouteille d’eau.
Je ne prête aucune attention à ces dernières requêtes, je lui dis au revoir, j’entame l’ascension de la rue Lucien Barbier et, vingt minutes plus tard, j’arrive sur le parking du collège. Tout le monde est là, enfin presque…

Sébastien, un gars de ma classe est noté absent, c’est pas grave, je ne l’aime pas trop ce mec, d’ailleurs tout le monde le trouve bizarre. Mais c’est bête pour lui de ne pas venir, il aurait pu vivre une belle aventure. En même temps, je vais être tout seul avec Aurélie. Je la trouve super sympa, elle est franche, belle avec des yeux qui pétillent telles des étoiles resplendissantes dans la nuit, des cheveux bruns dégradés et des tenues, toujours à la mode mais pas très adaptée aux sorties à la campagne.

j'espère que se début vous plais! la suite prochainement sur endor^^

Bravo vous êtes les meilleurs

J'aime bien le début

Numéro 2 Nombre de messages : 1255 Age : 38 Date d'inscription : 05/04/2005

On attend la suite avec impatience!! heureux

c est super ! vivemant la suite

en plus j ai l impression qu on parle de moi dans ton histoire lire

lol ah bon? ben si oui c'été involontaire'^^ allez voila la suite!

Pendant ce temps, madame Hyks est revenue du bureau de la vie scolaire, accompagnée de Julien, un surveillant de vingt et un ans, très cool, qui a accepté de nous accompagner pour garder le camp pendant notre petite aventure dans les bois.
Soudain, une petite Punto rouge arrive en trombe, je reconnais Sébastien à travers les carreaux. Sa mère sort de la voiture et ouvre la portière à son fils, qui, au grand étonnement de tous, porte une attelle à la jambe droite. Tout le monde se précipite vers lui, je fais comme les autres. Il raconte qu’il a fait une chute la veille au soir en rollers, en essayant de faire un simple « backside » et que sa mère l’emmène en voiture. On le retrouvera là-bas.

Et c’est parti ! On enfourche tous nos vélos et on commence à pédaler. Les gars sur leurs vélos font les cracks pour épater Aurélie. Les kilomètres passent, la sueur coule et les muscles chauffent. Je freine un peu pour aider Aurélie qui est en difficultés. Les garçons portent un regard noir sur moi et les filles ont envie de pouffer de rire. David s’élance vers moi avec son nouveau vélo Décathlon « A fond la forme ! ». Il me pousse, prend ma place auprès d’Aurélie. Je perds l’équilibre, tombe lourdement. La prof accourt. A l’aide d’un Kleenex, elle éponge le sang qui coule de mon genou. Elle arrête le groupe qu’elle sermonne sérieusement.
- Vous êtes sous ma responsabilité, je ne veux pas d’enfantillages !
- Madame, je pense que ça va aller, vous pouvez me laisser continuer.
- D’accord Pierre, mais plus d’imprudence !
Avec l’aide de Matthieu, je remets ma chaîne qui a sauté lors de la chute. Et tout le monde repart. Les conversations reprennent tranquillement, jusqu’à la fin du trajet, pas si difficile finalement.

et voila^^ j'espère que vous allez aimé!

finallement cette Aurélie ne me ressemble pas ^^

éhé :p un peu trop citadine je supose? la suite sera pour plus tard^^

elle fait trop miss prout prout

lol ben c'est fais expret blbl

ben c est pas du tout mon cas nan nan

ben tant mieux pour toi cheffeuh^^

donc je vais vous poster la suite^^ et dites moi se que vous en pensez!

En arrivant à Loeuilly, nous découvrons un grand plan d’eau à gauche de la route et un autre, à droite, plus petit et proche d’une aire de jeux, le tout entouré d’un bois touffu. Je suis encore un peu étonné de me retrouver là avec toute la classe de 3C. C’est un début d’année peu habituel. Tout de suite sur le terrain, drôle de méthode !
Rapidement, la prof nous explique le déroulement du séjour, les règles de bonne conduite et tout le tralala habituel. Personne n’écoute vraiment mais nous commençons avec enthousiasme et bonne humeur le montage des tentes.
Vingt minutes plus tard, la tente que je partage avec Sébastien qui m’aide mollement, est montée mais certaines autres n’avancent pas. Mathilde, Eliza et Louise sont allongées dans l’herbe, à moitié cachées, leurs vêtements flashy les font repérer.
- Les filles, il n’est pas fini le montage de cette tente ? dit Mme Hyks
- Madame, on se repose cinq minutes et après on reprend, dit Mathilde suppliante.
- Vous vous reposez de quoi, d’avoir planté quatre piquets ? Allez au boulot !
Et les filles reprennent le travail, malgré elles.
Notre campement prend peu à peu forme. Les tentes des filles à gauche, celles des garçons à droite et au milieu, les surveillants et la prof.
- Ca évitera le noctambulisme de certain, dit Mme Hiks, d’un ton ironique.

Quand l’installation est terminée, on attend les trois élèves qui sont partis chercher du bois. J’en profite pour me rapprocher d’Aurélie. Mais je n’ai pas le temps d’engager la conversation, les camarades arrivent, les bras chargés de brindilles. Ils les placent au centre. La prof allume le feu. Au début, les flammes sont petites et bleues mais au fur et à mesure, elles grandissent et deviennent rouge orangé. L’odeur du bois se répand et la chaleur se fait sentir. Tout le monde se rapproche du feu et une bonne ambiance s’installe. C’est le moment d’attaquer le dîner.

et voilou^^ la suite bientot sur endor :p

Numéro 2 Nombre de messages : 1255 Age : 38 Date d'inscription : 05/04/2005

Mais que va-t-il bien pouvoir se passer sur le campement, un vendredi 13... meurtre

de suite

ca ferait un super bouquin pour l été sur la plage

ben en bouquin se sera pour l'année prochaine :p je vous montrerai la couverture ^^

et donc je fais un peu de flood mais bon je peux pas faire autrement si vous voulez la suite...alors voila^^

- Est-ce que deux personnes peuvent venir m’aider pour distribuer les « dé-li-cieux » sandwiches que la cantine nous a préparés ?
Tout le monde éclate de rire, même la prof. Deux élèves courent vers elle pour l’aider. C’est vrai que les sandwiches ne semblent pas appétissants, ils sont tout raplapla, le pain n’a pas l’air cuit… Mais on a tous faim, alors on ne cherche pas à comprendre.
- Ce soir, c’est un pique-nique réduit, j’a oublié l’ouvre boîte. C’est tout ce que j’ai à vous proposer, dit la prof confuse.
- Mais c’est pas grave, madame, on en trouvera un demain au village.
- Oui, c’est vrai, Pierre, tu as raison, ça aura un petit côté champêtre, ajoute la prof.
- Ça, c’est la meilleure, on est dans le fin fond de la Picardie, y a aucun magasin à moins de dix kilomètres, on va dormir dans des tentes qui datent de 14-18, au milieu des bois et des étangs et en plus, on va manger froid ce soir, et bien, moi je dis : Vive le camping ! clame Aurélie.
- C’est vrai que miss Monde, entre la rue des 3 cailloux, les Galeries Lafayette et Pimkie, elle ne connaît pas grand-chose, dit Louise, pour faire taire Aurélie.
- Bon les filles, c’est fini, on va manger et ensuite, on ira travailler ! dit madame Hyks.
Le calme revient et on commence à manger dans une atmosphère joyeuse, enfin pour la plupart.

Je suis assis à côté de Sébastien. Aurélie est juste en face. Elle ne fait que rigoler avec ses copines, pendant que moi je m’embête à écouter, une fois de plus les blagues bien lourdes de Sébastien, celle des blondes qui n’ont pas plus de cervelle que les crevettes. Lui, comme toujours, ça le fait rire mais moi, pas du tout. En plus, c’est toujours les mêmes qu’il me raconte. Alors je mange mon sandwich tranquillement en pensant encore et toujours à Aurélie. Je ne fais que la regarder, elle ne le remarque pas. Tout à coup elle se retourne vers moi, je tourne la tête, style de rien. J’abandonne mon sandwich, boit et me relève. J’en ai marre, Sébastien commence vraiment sérieusement à me saouler. J’ai encore faim, le pique-nique est carrément mauvais, le pain a un vieux goût de carton et on dirait que le pâté est périmé, il a une odeur… infecte. Alors je cours discrètement vers la tente. J’attrape mon sac, je prends le paquet de bonbons que ma mère m’a acheté, je le glisse dans ma poche et je rejoins les autres.

Mme Hyks réunit les groupes et nous répète, une fois de plus les consignes :
- Cette fois-ci, plus question de rire, nous sommes dans un bois, ne vous éloignez pas trop, en cas de problème, vous sifflez. Vous en avez un par groupe. Ne vous séparez jamais ! Pas d’imprudences ! Faites attention au paysage, aux bruits, aux couleurs, aux odeurs. Observez bien. Nous avons de la chance, le ciel est dégagé. Il faut qu’on recueille un maximum d’informations pour l’écriture de notre nouvelle. Lorsque vous aurez terminé vous reviendrez ici, Julien vous y attendra ! N’est-ce pas Julien ?
Je n’écoute qu’à moitié. La raison ? Aurélie Durand, la plus belle fille de toute la classe. Que dis-je ? La plus belle fille de tous les collèges d’Amiens. En plus d’être belle, elle est très sympa, super attentive, lorsqu’on a un problème, elle est toujours là pour nous consoler. Je suis très heureux car la prof a très bien constitué les groupes, je suis avec Aurélie. Je suis chargé de lui faire accepter cette sortie dans les bois. Elle peut compter sur moi la prof.

En attendant elle remarque que je n’ai rien écouté. Elle me demande de répéter ce qu’elle vient de dire. Mais aucun mot ne sort de ma bouche. Elle me regarde d’un œil mécontent et décide de tout me réexpliquer. Pendant qu’elle me redit les consignes, les autres ont pris le large.

voili voila! j'espère que sa vous plaira^^

Bah et la suite alors???, je trouve ca franchement genial

Et je dois avouer un peu honteux d ailleurs que cela me rappelle beaucoup de choses, et oui j ai fait du scoutisme...

Le plus abruti et allumé du campement le seul gars qui s asseyait sur les chardons pour épater les filles... Bref je ne raconterai pas d autre anecdotes

Mais je veux et j exige de lire la suite§

donc vu que vous me réclamé la suite et bien...la voila! lol

On part enfin tous les trois. Aurélie est super «flashy» avec son tee-shirt rose fluo: «On ne risque pas de te perdre! » lui dis-je en rigolant. J aime bien la taquiner selon l’expression: Qui aime bien, charrie bien !

Il est déjà 20h lorsque l’on arrive à la lisière du bois. Il fait très sombre Aurélie et Sébastien n’ont pas l’air très rassuré. J’ai plutôt l’habitude, avec mes cousins on va souvent faire des cabanes dans les arbres. Aujourd’hui, ce n’est pas pour aller rigoler mais pour travailler. Le terrain est boueux, ça sent l’humidité, il a beaucoup plu ces derniers jours. J’adore cette odeur de marécage, de campagne ! Aurélie semble moins à l’aise, je parviens à la faire sourire en sortant mon paquet de bonbons. Trois minutes plus tard, il n’y en a plus ! On continue notre chemin.

On n’entend déjà plus les autres groupes. Le silence est troublé par quelques bruits bizarres qu’on n’arrive pas à identifier. Il n’y a pas de quoi s’inquiéter, pourtant ! Cette petite sortie nocturne n’a pas l’air de plaire à Sébastien et encore moins à Aurélie, tous deux habitués au confort de la ville. Elle est surtout passionnée de lèche-vitrines et de sorties avec les copines, lui, c’est plutôt les jeux vidéo, enfin, la campagne, c’est pas leur truc ! En plus, Sébastien galère avec son attelle, on n’avance pas !
On n’a pas besoin d’aller très loin pour cette fichue séance d’observation mais ce n’est pas évident de trouver un endroit sympa où on pourrait s’asseoir et faire notre travail. Quelques minutes plus tard avec un Sébastien à bout de forces et une Aurélie, folle de rage, on finit par le trouver le coin idéal, un tapis de mousse et un tronc de chêne en guise de dossier, on s’assied, on tend l’oreille. Les bruits défilent : il y a les feuilles qui volent, les arbres qui grincent et beaucoup d’autres bruits qu’on n’identifie pas. On s’efforce de prendre note.
Sébastien ne fait pas grand-chose, il m’énerve. Je lui dis gentiment. Son accident de la veille excuse sa paresse, me répond-il. Je veux bien croire que c’est pas drôle mais il ne fait aucun effort. Il est prétentieux, arrogant et j’en passe…
On prend les dernières notes et on commence à se diriger vers le camp.

la suite prochainement :p

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